Et si tu écrivais : “Si je n’avais pas peur, je…” ?
« La peur ne disparaît jamais vraiment. Mais elle peut apprendre à marcher à côté de toi. »
Tu as commencé à ressentir, à t’habiller, à incarner. Puis tu as mis des images, des mots, des couleurs sur cette femme que tu veux devenir.
Aujourd’hui, je t’invite à écouter ce qui t’empêche de l’être pleinement.
Pas pour t’enfermer dans ce qui bloque. Mais pour nommer, éclairer, et doucement transformer.
Pas pour t’enfermer dans ce qui bloque. Mais pour nommer, éclairer, et doucement transformer.
✧ L’exercice
Prends une feuille blanche, un carnet, ou ouvre une page vide sur ton ordinateur.
Inscris simplement cette phrase :
“Si je n’avais pas peur, je…”
Et laisse-la s’ouvrir.
Répète-la autant de fois que nécessaire. Ne censure rien. Écris tout ce qui vient, même ce qui te semble ridicule, irréaliste, trop grand ou trop intime.
“Si je n’avais pas peur, je quitterais ce projet.”
“Si je n’avais pas peur, je prendrais la parole en réunion.”
“Si je n’avais pas peur, je m’aimerais.”
“Si je n’avais pas peur, je créerais une œuvre immense.”
“Si je n’avais pas peur, je lui dirais que je ne veux plus de ça.”
Laisse parler la version libre de toi. Celle que la peur garde trop souvent au silence.
“Si je n’avais pas peur, je…”
Et laisse-la s’ouvrir.
Répète-la autant de fois que nécessaire. Ne censure rien. Écris tout ce qui vient, même ce qui te semble ridicule, irréaliste, trop grand ou trop intime.
“Si je n’avais pas peur, je quitterais ce projet.”
“Si je n’avais pas peur, je prendrais la parole en réunion.”
“Si je n’avais pas peur, je m’aimerais.”
“Si je n’avais pas peur, je créerais une œuvre immense.”
“Si je n’avais pas peur, je lui dirais que je ne veux plus de ça.”
Laisse parler la version libre de toi. Celle que la peur garde trop souvent au silence.
✧ Et après ?
Lis ton texte à voix haute.
Sens ce qui résonne. Ce qui t’émeut. Ce qui te fait frissonner.
Puis pose-toi cette question :
“Et si je faisais un tout petit pas dans cette direction ?”
Pas un saut dans le vide. Un pas.
Une prise de contact avec la liberté.
Puis pose-toi cette question :
“Et si je faisais un tout petit pas dans cette direction ?”
Pas un saut dans le vide. Un pas.
Une prise de contact avec la liberté.
✧ Pourquoi ça change tout
La peur est une gardienne : elle veut souvent protéger l’enfant en toi.
Mais parfois, ce qu’elle protège, c’est simplement une ancienne version de toi qui ne sait pas encore que tu es prête.
En écrivant, tu reprends le pouvoir.
En écrivant, tu reprends le pouvoir.
Et c’est souvent par là que commence la transformation.
👉 La semaine prochaine, on passera de l’écriture à la prise de conscience… Seulement 4 semaines que tu travailles sur ton image. Tu t’es habillé et tu as marché comme celle que tu vas devenir, tu as créé le moodboard qui rend tangible cette femme insoupçonnée en toi, puis tu as pris conscience de tes peurs. Accueille tes peurs, accueille ta projection. Nous allons les faire cohabiter!